Dans l'oeil du cyclone
Il lui faudrait attendre d'être parfaitement seule, sans Luciano même, seule avec cet objet qui l'attirait et lui faisait peur: la boite de Pandore!
Il lui faudrait être en terrain "neutre", un lieu public et anonyme, d'où elle pourrait effacer toute trace avant de se débarrasser de la clé, c'était toujours comme ça, aucune trace ne devait subsister!
Elle avait l'habitude!
Sa mémoire lui permettrait-elle de tout retenir, de tout analyser, de tout synthétiser?
Elle était revenue au "top", du moins le croyait-elle, ses "chefs" aussi, semble-t-il!
Peut-être n'y avait-il RIEN dans cette clé, qu'un virus destiné à paralyser son système et ceux des appareils du réseau.
Voilà pourquoi essayer ailleurs que sur son installation personnelle lui semblait plus logique. Elle avait une autre clé qui contenait des désinfectants et des paralysants pour prévenir et guérir en cas de force majeure, mais elle préférait ne pas les utiliser!
Elle ne voyait pas venir le moment où elle pourrait s'isoler avec son matériel, ni où exercer ces déchiffrages, était-elle même codée cette clé? et avec quel genre de code? aurait-elle "ce qu'il faut" sous la main?
La seule chose à faire à présent, jusqu'au moment fatidique, était de donner le change en se comportant normalement, et de chasser sans trêve ce curieux sentiment de "déjà vu" qui l'assaillait de plus en plus fréquemment depuis sa rencontre déplorable avec Aloïs Ferret!
miel 28 mars 2013 17: 37
in
ma vie, ce cartoon
cartoon-life
cartoon's life (ma vie comme un cartoon)
J'offre mon dos nu
à vos intentions criminelles
Pleurez, vous tous, puisque le sort abat le fort!
Resterons-nous toujours en esclavage?
Mais telle la lune qui croit puis décroit,
la chance tournera
rendant
au pauvre sa noblesse.